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La théorie astronomique des (paléo)climats est un modèle utilisé en sciences de la Terre pour expliquer le caractère cyclique des variations générales du climat au cours des temps géologiques.
Cette théorie explique que l'énergie radiative reçue par la Terre en provenance du Soleil est quantitativement affectée par des variations à long terme, corrélées à celles de son orbite et de ses paramètres de rotation.
Les modulations constatées ou prévisibles concernent la quantité nette d'énergie reçue, sa répartition et sa « gestion » variable par l'écosystème Terre (rôle récent du facteur humain). D’autres paramètres inopinés peuvent intervenir comme le volcanisme, l’impact de météorites ou de comètes.
Exceptionnellement en salle G4 (6 bis Bd Gambetta) + visioconférence
De la fondation à la « déconstruction » (1910-2023)
Le patrimoine hospitalier militaire est un patrimoine fragile, trop peu reconnu.
Nous retracerons l’historique du bâti et ses particularités architecturales puis ses différentes fonctions durant plus d’un siècle avant sa destruction et le nouveau projet urbanistique qui se dessine.
Ces édifices désaffectés auraient-ils pu être reconvertis ?
Qu’en est-il d’autres ensembles hospitaliers militaires en France ?
« Arrêtez de démolir ! » tel est le slogan de deux architectes, qui privilégient la réhabilitation à la destruction et qui viennent de recevoir le prix Pritzker.
Il semblerait qu’en Isère, nous demeurons quelque peu éloignés de ce modèle de reconversion des sites, dialoguant entre histoire et création contemporaine tout en s’inscrivant dans le développement durable.
Les cold cases occupent aujourd'hui pleinement l'actualité. Les médias se passionnent pour le sujet et proposent quotidiennement au public des affaires criminelles récentes ou passées. Qu'est ce qu'un cold case ? Pourquoi certains crimes ne sont-ils pas élucidés? Comment améliorer le traitement judiciaire de ces affaires complexes ? Quelles solutions ont-elle été adoptées pour répondre à cette douloureuse problématique pour les familles des victimes ? Quel est l'apport de la science dans ce domaine ? L'auteur, ancien juge d'instruction et procureur de la république, a présidé la commission nationale chargée de réfléchir à ces questions entre 2019 et 2021. Fort de sa longue expérience, il évoquera la complexité du sujet et les enjeux humains et sociétaux qu'il revêt aujourd'hui.
Magistrat honoraire, Jacques Dallest a été juge d'instruction (Rodez et Lyon) procureur de la république (Roanne, Ajaccio, Bourg en Bresse et Marseille), procureur général (Chambéry et Grenoble) et avocat général d'assises (Loire, Corse du Sud, Ain, Charente, Dordogne, Gironde, Haute-Savoie, Savoie, Hautes-Alpes, Drôme, Isère).
Auteur de six ouvrages :
" Sur les chemins du crime (2025), « Cold cases, un magistrat enquête » (2023), « L’Épuration, l'histoire interdite » (2022), « Le guide et le procureur » (2020), « Mes homicides » (2015) et « La criminalité organisée » (2012). Il a préfacé divers ouvrages consacrés à la criminalité. Il est membre du jury du Prix du Quai des Orfèvres.
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Il a été également professeur associé à Sciences Po Grenoble et doyen des enseignements du pôle Communication Judiciaire à l’École Nationale de la Magistrature. Il a présidé la commission nationale sur le traitement judiciaire des crimes non élucidés entre 2019 et 2021.
Consultant judiciaire depuis deux ans, il intervient régulièrement sur les chaînes radio et télé d'information continue. Il réside à Annecy.
Dans un monde de plus en plus chaotique où le fragile ordre international édifié par l’ONU au XXe siècle est défié par de multiples et nouveaux types de conflits qui prolifèrent hors de tout contrôle, il est possible - et urgent- de déployer des stratégies de régulation et de pacification alternatives à la force brute, seules voies vers la coexistence pacifique des identités diverses et des sociétés plurielles d’aujourd’hui.
Lorsqu’il s’éteint, le 26 septembre 1945, au West Side Hospital de New York, Bartók a eu la satisfaction d’assister au triomphe de son Concerto pour orchestre dirigé par Koussevitsky à Boston. Son exil américain est la conséquence de son opposition farouche à l’adhésion de la Hongrie, à l’axe avec l’Allemagne hitlérienne : « Mon véritable principe directeur depuis que je suis compositeur est la fraternité des peuples…Je cherche à l’illustrer en musique…Je ne ferme à aucune influence qu’elle émane d’une source slovaque, roumaine, arabe…Pourvu que cette source soit pure, fraîche et saine ». Formé, à Budapest, dans la tradition germanique de l’Empire austro-hongrois, c’est en 1906-1907 qu’il fait deux découvertes, celle du Pelléas et Mélisande de Debussy qui influencera son opéra Le Château de Barbe-Bleue. Au même moment, il débute la collecte de chants paysans hongrois qui nourriront tous ses opus jusqu’à ses œuvres essentielles que sont la Musique pour cordes, percussion et célesta et la Sonate pour deux pianos et percussions où il réussit une étonnante synthèse entre les sources populaires et sa vénération pour Bach et Beethoven.